La 3è fenêtre des qualifications terminée, la suite ce sera les 26, 27 et 28 août prochains. Comment entrevoyez-vous les débats à venir ?
Déjà nous allons nous reposer un peu parce que là, nous sommes vraiment fatigués. Prendre quelques jours pour voir nos amis, nos familles. Nous attendons la suite du programme qui viendra de la Fédération Ivoirienne de Basketball et du coach pour savoir quand est-ce qu’on commence la prochaine partie de ces qualifications.
L’équipe a quelque peu souffert de l’absence de certains cadors. Pour le mois d’aout leur présence devrait être nécessaire n’est-ce pas ?
Bien sûr! Mais, il y a eu en notre sein, de nouveaux joueurs. Ceux-ci ont apporté leur effort. Ce n’est pas facile de venir jouer une première qualification devant son public. Il y a le stress et la famille. Nous sommes tous passés par là donc je pense qu’ils ont fait un bon boulot. Vous savez, nous n’avons pas d’individualité dans notre équipe. Chacun aura son jour, chacun va apporter sa petite part. C’est ce qui fait qu’on est toujours aussi bon. On ne compte pas sur un seul joueur dans cette sélection. C’est tout le monde ensemble. Donc s’il n’y a pas quelqu’un, il y aura forcément un autre qui va le remplacer et qui va faire le job.
Un mot pour ce public qui a fait le déplacement ?
Franchement, ça été chaleureux. La présence de ce public ivoirien nous touche au cœur. Nous sommes vraiment contents qu’ils nous soutiennent. On espère que ça va perdurer. Surtout qu’en août nous seront encore là à Abidjan pour la 4è fenêtre.
Justement, en aout, ce sera encore plus corsé avec le Nigéria, le Cap-Vert et l’Ouganda qui se dressent sur le chemin de la Côte d’Ivoire. Dans votre tête ça doit faire tilt sûrement ?
Dans la tête nous restons costauds. Nous n’avons peur de personne. Nous avons déjà battu le Nigéria à l’afro basket et donc on n’a pas peur d’eux. Nous allons jouer notre basket. Nous connaissons le Cap-Vert également. L’Ouganda moins que les autres. Mais vous savez, nous avons un style de jeu qui ne change pas depuis et qui fait qu’on gagne. Donc on va garder ce qu’on sait faire de bien et essayer de s’améliorer sur les choses qui ne sont pas bien.
Réalisée par Gora Mahi Thomas
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